Cette page n’a pas encore été corrigée
raiſon que ce ſoit, tout objet qui l’aide dans ce développement, doit néceſſairement lui être agréable ; ſi au contraire, quelque choſe met obſtacle à ce développement, il ne peut qu’être déſagréable.
Je n’entrerai point ici dans un plus grand détail ſur ces qualités des objets, pour ne pas anticiper ſur ce que j’aurai à dire, quand j’eſſayerai de déduire de cette théorie générale les ſentiments particuliers de l’âme à l’égard de chaque claſſe différente des objets qui l’affectent.
Fin de la première Partie.