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nements ſuivants ; elle doit ſervir en même temps à rendre circonſpects ceux qui croient avoir trouvé des objections contre la bonté ſouveraine de Dieu. Il ne leur eſt point permis de trop inſiſter ſur ces doutes, à moins qu’ils ne ſoient en état de démontrer d’une manière ſatiſfaiſante, qu’il a été poſſible à Dieu de mener les Etres intelligents au bonheur par un chemin plus court. Il ne ſuffit pas de ſuppoſer comme une propoſition évidente d’elle-même, que la choſe eſt poſſible. Pour en être abſolument aſſuré, il faudrait des connaiſſances infiniment plſu étendues que ne ſont celles que nous avons actuelle-