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les cas où j’ai le jugement libre & où je n’ai point d’intérêt qui ſoit contraire à celui de l’autre .

Maintenant après avoir prouvé, que le bien & le mal relatif au bonheur des autres, fait ſur nous un effet- ſemblable à celui que font nos biens & nos maux propres, pourvu que notre attention s’y fixe, & que nous n’ayons point d’intérêts oppoſés, il ſera très facile de