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les forges saint-maurice

que le dit sieur de Francheville soit tenu de payer à Sa Majesté aucune finance, ni indemnité pour quelque cause ni sous quelque prétexte que ce soit…, et Sa Majesté lui fait don et remise du droit de dixième à elle appartenant ».

La colonie appartenait à la compagnie des Indes, comme exploitation commerciale, et les mines relevaient de l’État, mais le roi pouvait trancher dans le monopole aussi bien qu’il abandonnait ses propres prétentions sur les dépôts de fer que la nature avait semés dans le domaine de Maurice Poulin.

Ici, je trouve mention d’un fief nommé Préville que le roi aurait accordé à Francheville le 22 mars 1730, pour agrandir la seigneurie de Saint-Maurice. Ne serait-ce pas la terre qui avait appartenu à Marin Terrier, en ville ?