" J.-B.,
" père, Joseph,
" fils, Joseph,
" Louis,
Noël, D.,
Pellerin, Antoine,
" François,
" J.-P.,
" Louis,
Pléau, Antoine,
" J.,
Poulin, Augustin,
Précourt, Alex.,
" père, G.,
" fis, G.,
" N.-V.,
Raymond, H.,
Rivard, Jules,
" P.,
Robichon, Joseph,
" N.,
Rouet, Étienne,
Sarrazin, C.,
Sawyer, père, B.,
" fils, B.,
Tassé, Édouard[1],
Terrault, Éloi,
" E.,
" Jean,
" Jean-Baptiste,
" Joseph,
" père, N.,
" fils, N.,
" R.,
Tomlinson, J.,
Winniburgh, H.
Le 21 octobre 1843, Dominique Daly, secrétaire provincial, écrit à Bell qu’on lui offre de prolonger son bail d’un an s’il accepte l’arpentage et le reste des terres des Forges que l’on jugerait à propos de concéder dans l’intervalle de ces douze mois. Bell consent et ajoute que vers l’été de 1844, la fournaise sera usée, hors de service et qu’il ne la
- ↑ Tassé était un bon garçon, mais les gens des Forges disaient qu’il avait des entrevues avec le diable. Il n’y a pas un coin du pays où les superstitions durèrent aussi longtemps qu’aux Forges ; les femmes et les filles étaient surtout très naïves sur ces histoires de « grand’mère ». Toutefois, Tassé était un lutteur redouté ; il fut la terreur du poste des Forges et l’on a mis sur son compte des fables exagérées, mais ses camarades y croyaient… Il est mort en bon chrétien à Saint-Boniface.