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C’est à moi d’obtenir mon pardon : je l’implore,
Souris-moi, reste là sur ma poitrine encore
Pour sentir de plus près ma tendresse et ma foi.
Oui, relève ton front pâli, rassure-toi,
De ton ébranlement reviens, ma bien-aimée ;
Mon cœur bat sur le tien, Stella…
stella
Un court saisissement, comme un éclair d’effroi,
M’avait jeté dans l’âme un subit désarroi ;
Mais me voilà rendue à ma volonté vraie !
faustus
Tu me suivras ?
stella
faustus
Réfléchis...
stella
faustus
Si tu me secondais davantage en restant ?