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stella
O sophiste ! A quoi bon, pour lire en l’être aimé,
D’autres rayons que ceux où l’amour vrai s’allume
Et dont le pur éclat dissipe toute brume,
Rayonnement du cœur dans les yeux exprimé ?
faustus
Pascal me répondit : « J’ai fait l’expérience.
Autrefois, de servir l’amour et la science,
Mais j’alternai d’abord ces deux cultes divers :
« De la beauté, ma séductrice,
Humble serf, je baisais les fers,
Et j’oubliais pour son caprice
Toutes les lois de l’Univers.
« Je ne consacrais pas ma veille,
Par un hommage injurieux,
A raisonner sur la merveille
De la grâce pour l’aimer mieux.
« Je n’imposais point à l’ovale
D’un jeune visage adoré
L’exacte ellipse pour rivale :
Le contour qui charme est sacré !