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Cependant à l’appel des horizons nouveaux
Vers leurs maîtres épars hennissent les chevaux.
Bientôt les cavaliers avec des cris de joie
Replongent dans l’espace, et chacun d’eux envoie
À ses hôtes d’une heure, en quittant ce beau lieu,
Un gai salut fuyant qui n’est pas un adieu.