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Certes, je bouclerai l’airain si fortement
Sur ma poitrine hostile au culte que j’embrasse,
Que l’armure sévère y marquera sa trace
Plutôt que d’y permettre un lâche battement.

Et dussé-je, si rien ne t’entame, ô Nature,
Sphinx horrible et charmant, te prendre à la ceinture,
Et dans un cri forcé t’arracher ton secret,

Corps à corps avec toi je lutterai sans trêve !
À nous deux maintenant ! Parle, me voilà prêt,
Je ne suis plus l’Œdipe alangui par le rêve.




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