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les vaines tendresses.
L’étoile au cœur
Par les nuits sublimes d’été,
Sous leur dôme d’or et d’opale,
Je demande à l’immensité
Où sourit la forme idéale.
Plein d’une angoisse de banni,
À travers la flore innombrable
Des campagnes de l’Infini,
Je poursuis ce lis adorable…
S’il brille au firmament profond,
Ce n’est pas pour moi qu’il y brille :
J’ai beau chercher, tout se confond
Dans l’océan clair qui fourmille.