Page:Sully Prudhomme - Œuvres, Poésies 1865-1866.djvu/115

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Il choisit dans les fleurs les couleurs les plus belles
Pour en orner ton corps mobile et frais comme elles,
Et la terre n’a rien, ni l’onde, ni l’azur,
Qu’on ne possède en toi plus brillant et plus pur. »