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Plusieurs voix.

À la mort, le chien ! — Qu’on le coupe en morceaux !

Le Gitano.

On ne s’entend pas, avec tous leurs cris ; dites-moi, mon cher curé, on a donc élevé dernièrement ces nouvelles batteries ?

Le prêtre.

Oui ; mais songez…

Le Gitano.

À la mort ? Eh ! mon vieil ami, voici le compère à la casaque rouge, qui y pense pour moi ; c’est assez d’un.

Un homme.

Qu’on le crucifie ! qu’on le brûle à petit feu !

Le Gitano.

Vous ferez difficilement un peuple avec ces gens-là. Quel soleil pur ! quel beau ciel !

Le prêtre.

Oui, mon ami, mon fils, le ciel ; pensez au ciel.

Le Gitano.

Mais, nous voici arrivés ; adieu, mon ami,