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l’orgue… et la foule qui répète comme moi : Qu’il est beau, son fiancé ! — Ah ! voici le vieux prêtre ; sa main tremble en nous unissant : il est à moi !… c’est mon époux ! c’est mon époux !… Oh ! ma mère, reste… Tu me laisses ? — Ton époux est avec toi, mon ange ! — Ma mère ! ma bonne mère !…

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Heureuse fille ! elle dormait. — N’est-ce pas, je le répète, un digne couvent que le couvent de Santa-Magdalena ?