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ÉPILOGUE.

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CHAPITRE XXXII.

LE CAFÉ LEBŒUF.


Environ un mois s’était écoulé depuis que madame Blondeau avait apporté les mémoires de Mathilde au colonel Ulrik, auquel nous restituerons son véritable nom et que nous appellerons désormais M. de Rochegune.

Le café Lebœuf offrait toujours à l’admiration des rares passants de la rue Saint-Louis ses bocaux de cerises et ses bols d’argent plaqué, à travers ses vitres. L’hôtel d’Orbesson semblait toujours solitaire ; son unique habitant, successivement surnommé Robin des bois