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— Et ceci, le tolérerez-vous ?… — s’écria Gontran.

Et j’entendis le bruit d’un soufflet.

Il y eut un moment de tumulte, au-dessus duquel domina la voix de M. Lugarto, qu’on entraînait, et qui s’écriait avec un accent de rage que je n’oublierai jamais :

— Offense pour offense, Monsieur, nous sommes quittes. Demain, tout Paris saura comment je me venge !…