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trée. Maintenant, je ferai tout ce que vous voudrez à ce sujet.
La figure de M. de Lancry avait peu à peu repris son expression de douceur habituelle ; seulement il semblait accablé. Il me prit la main et me dit avec bonté :
— C’est à mon tour, Mathilde, à vous demander pardon de ma violence… Mais, une fois pour toutes, croyez… oh ! croyez bien que je ne demande rien qui ne soit indispensable à votre bonheur… je n’ose dire au mien.
— Ah ! mon ami ! cette raison est la seule qu’il faille invoquer ; elle suffira toujours à me décider.
On vint annoncer à Gontran que la voiture l’attendait. Nous partîmes pour aller rendre visite à mademoiselle de Maran.