Page:Sue - Martin l'enfant trouvé, vol. 3-4.djvu/184

Cette page a été validée par deux contributeurs.

reste pas de traînards à me guigner du coin de l’œil en lanternant autour de mon baquet.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

À neuf heures du soir, lorsque les dernières lanternes de notre établissement furent éteintes, nous nous préparâmes à souper.

Bamboche, qui avait à dessein, sans doute, affecté de ne pas se rapprocher de moi, me dit rapidement à voix basse :

— Tout va bien !… tout est prêt… nous filons cette nuit !…