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vers Rodolphe ses mains suppliantes. — Ne me laissez pas seule !… je vais mourir…
— Seule !… non !… non !… Je vous laisse avec le spectre de votre fille, dont vous avez causé la mort !…
Sarah, éperdue, se jeta à genoux en poussant un cri d’effroi, comme si un fantôme effrayant lui eût apparu.
— Pitié !… je meurs !…
— Mourez donc, maudite !… — reprit Rodolphe effrayant de fureur. — Maintenant il me faut la vie de votre complice… car c’est vous qui avez livré votre fille à son bourreau !…
Et Rodolphe se fit rapidement conduire chez Jacques Ferrand.