clamé par Micout, le recéleur du passage de la Brasserie, que ses complices n’avaient pas dénoncé.
Comme figures secondaires du tableau que nous essayons de peindre, qu’on s’imagine tout ce qu’il y a de plus bas, de plus honteux, de plus monstrueux dans cette crapule oisive, audacieuse, rapace, sanguinaire, athée, qui se montre de plus en plus hostile à l’ordre social, et sur laquelle nous avons voulu rappeler l’attention des penseurs en terminant ce récit…
Puisse cette dernière et horrible scène symboliser le péril imminent qui menace incessamment la société !
Oui, que l’on y songe, la cohésion, l’augmentation inquiétante de cette race de voleurs et de meurtriers est une sorte de protestation vivante contre le vice des lois répressives et surtout contre l’absence des mesures préventives, d’une législation prévoyante, de larges institutions préservatrices, destinées à surveiller, à moraliser dès l’enfance cette foule de malheureux, abandonnés ou pervertis par d’effroyables exemples. Encore une fois, ces êtres dés-