Page:Sue - Les mystères de Paris, 4è série, 1842.djvu/392

Cette page a été validée par deux contributeurs.

ce faux en acte de décès ! Si on fait une enquête… je suis perdu ! Ce crime peut mettre sur la voie des autres…

Après un moment de silence, il dit à madame Séraphin :

— Cette borgnesse sait où est cette jeune fille ?

— Oui.

— Et cette femme doit revenir ?

— Demain.

— Écris à Polidori qu’il vienne me trouver ce soir, à neuf heures.

— Est-ce que vous voudriez vous défaire de la jeune fille… et de la vieille ?… Ce serait beaucoup en une fois, Ferrand !

— Je te dis d’écrire à Polidori d’être ici ce soir à neuf heures !

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

À la fin de ce jour, Rodolphe dit à Murph, qui n’avait pu pénétrer chez le notaire :

— Que M. de Graün fasse partir un courrier à l’instant même… il faut que Cecily soit à Paris dans six jours…

— Encore cette infernale diablesse ! l’exécrable femme du pauvre David, aussi belle