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CHAPITRE XV.

RÉFLEXION.



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Ainsi qu’on a pu le voir par ses entretiens avec madame Georges et avec le curé de Bouqueval, Fleur-de-Marie avait si noblement profité des conseils de ses bienfaiteurs, s’était tellement assimilé leurs principes, qu’elle se désespérait de plus en plus en songeant à son abjection passée.

Malheureusement encore son esprit s’était développé à mesure que ses excellents instincts grandissaient, fructifiaient au milieu de l’atmosphère d’honneur et de pureté où elle vivait.

D’une intelligence moins élevée, d’une sensi-