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d’affectueux reproche — je sais qu’il a toute ta confiance… Il est bien heureux, lui !
Il prononça ces derniers mots d’un ton si douloureusement navré que, touché de son accent, je lui répondis en lui donnant ma lettre presque sans réflexion :
— Lisez, mon père…
Mon ami, il a tout lu. Savez-vous ce qu’il m’a dit ensuite après être resté quelque temps méditatif ?
— Henri, je vais écrire au grand-duc ce qui s’est passé pendant votre séjour à Gerolstein.
— Mon père, je vous en conjure, ne faites pas cela.
— Ce que vous racontez à Maximilien est-il scrupuleusement vrai ?
— Oui, mon père.
— En ce cas, jusqu’ici votre conduite a été