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SEPTIÈME PARTIE.




IV.


Mais quel nouveau péril atteint Fleur-de-Marie ?
Ils n’ont donc pas sur elle usé leur barbarie,
Ce père trop cruel, ces destins trop ingrats !
À quoi bon la ravir mille fois à la tombe,
Pour vouloir que toujours notre idole retombe
Dans le piège des scélérats !

Quels cris ! ne sont-ce pas les démons qui rugissent ?
Ce sont les Martial qui contre elle s’unissent ;
C’est la haine et le sang, c’est le bachot fatal !…
De son meurtre, ô soleil, n’éclaire pas la scène ;
Portez notre Marie, ô vagues de la Seine,
Sur les gazons de Bouqueval !