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Ici mon cœur se fond dans un long merci. Vous, monsieur, volez de gloire en gloire ; vous, soyez le roi de vos rivaux, soyez l’élu du bonheur !
Moi, je n’ai plus rien à souhaiter ; je suspends ma lyre aux lauriers qui bordent votre route, heureuse de vivre, à la faveur de votre renommée, dans un monde où vous ne pouvez jamais mourir !
Fanny DENOIX
Beauvais, 25 octobre 1843.