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(SUITE.)



Jean Lebrenn n’aperçut pas d’abord Victoria placée dans l’ombre à l’extrémité du vestibule ainsi qu’Olivier ; mais la jeune femme, doublement surprise de rencontrer à la fois son frère et le jésuite Morlet, qu’elle reconnut sous ses habits rustiques, fut au moment de s’élancer à la rencontre de Jean ; mais, craignant que celui-ci, incapable de maîtriser d’abord son saisissement, ne compromît le secret qu’elle voulait garder au sujet de son déguisement, elle dit tout bas à Olivier, non moins stupéfait qu’elle à l’aspect de son ancien patron :

— Mon frère est entré ainsi que ce paysan et cet enfant dans la chambre où se tiennent les aides de camp de service… Va prier le canonnier Duchemin de venir à l’instant me rejoindre dans la cour. — Et la jeune femme, prenant son sabre sous son bras gauche avec