Page:Sue - Les Mystères du peuple, tome 1.djvu/139

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Et M. de Plouernel suivit le fils du marchand.

M. Lebrenn, resté seul, contempla le casque du colonel pendant un instant, et se dit :

— Ah ! il est vraiment des fatalités étranges !…

Et prenant le casque, il alla le déposer dans cette pièce mystérieuse qui excitait si vivement la curiosité de Gildas.

M. Lebrenn vint ensuite rejoindre ses amis, qui lui apprirent que l’on ne doutait plus que la république ne fût proclamée par le gouvernement provisoire réuni à l’Hôtel de ville.