Page:Sue - Le Juif errant - Tomes 3-4.djvu/195

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Divinations bizarres, incompréhensibles, quelquefois aussitôt oubliées qu’éprouvées, mais qui plus tard, lorsque les événements viennent les justifier, vous apparaissent alors, par le souvenir, dans toute leur effrayante fatalité.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Les filles du maréchal Simon étaient encore plongées dans l’accès de tristesse que ces pensées singulières avaient éveillé en elles, lorsque la femme de Dagobert, redescendant de chez son fils, entra dans la chambre, les traits douloureusement altérés.





XII


La lettre.


Lorsque Françoise rentra dans la chambre, sa physionomie était si profondément altérée, que Rose ne put s’empêcher de s’écrier :

— Mon Dieu ! madame… qu’avez-vous ?