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près de madame la duchesse pour continuer son service.
« Poussé à bout par une si horrible dissimulation, M. le duc de Beaupertuis, ne pouvant retenir son courroux et ses larmes, s’écria :
« — Malheureuse ! retourner auprès de ma femme pour achever de l’empoisonner, n’est-ce pas ?
« Puis il sortit de la chambre en invitant le magistrat à faire son devoir.
« La perquisition étant terminée, M. le commissaire dut signifier à Maria Fauveau qu’il l’arrêtait au nom de la loi et qu’elle eût à le suivre. Celle-ci, qui, malgré la terrible