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est mise à ravir. Quelle jolie figure ! — reprit M. de Juvisy, en voyant la comtesse monter lestement en voiture et s’asseoir à côté de madame Ducormier, qui semblait lui faire le plus gracieux accueil, pendant qu’Anatole Ducormier, penché sur son siège, adressait quelques paroles aux deux femmes.
— Pauvre madame Ducormier ! — reprit en souriant M. de Juvisy, — mariez-vous donc avec de beaux jeunes gens, quand vous avez quarante ans ! Donnez donc des voitures à votre mari, pour qu’il y promène de jolies femmes dont vous faites ressortir, hélas ! la jeunesse et la fraîcheur !
— Au revoir, Juvisy, — reprit M. de Me-