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— Où diable prends-tu ce comte-là ?
— C’est un comte fabriqué, comme tant d’autres, dans les bureaux des affaires étrangères ; aussi je ne te le donne pas pour bon gentilhomme, mais pour parfait gentleman.
— Attends donc ; mais il me semble que je connais ce nom-là, Ducormier… voyons donc, Ducormier ?… Eh ! mais sans doute, j’y suis maintenant : il était secrétaire du prince de Morsenne…
— Son premier protecteur, dont il parle toujours avec autant de vénération que de reconnaissance.
C’est cela même ; il y a une quinzaine