Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 4, 1851.djvu/163

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sentez, monsieur, que quelque droit que l’on ait de mépriser certaines insultes, il faut pourtant se résigner à les châtier ; j’essaierai.

— Cette modestie me plaît.

— Par une dernière marque de déférence pour mademoiselle Duval, dont la bonne renommée me préoccupe plus que vous, je ne veux pas, quant à moi, que son nom soit prononcé dans cette affaire.

— Cela me convient à merveille, monsieur, je n’attendais pas moins de votre gentilhommerie. Nous dirons à nos témoins, si vous le voulez, que… que vous m’avez mar-