Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 4, 1851.djvu/105

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sont à bout ; il me semble que mon cœur va se briser dans ma poitrine.

— Prince, encore quelques moments de purgatoire, — répondit tout bas Anatole en souriant ; — bientôt vous serez au paradis.

Et Ducormier prit la lettre que M. de Morsenne lui tendait. Sur l’enveloppe on voyait ces mots imprimés en lettres rouges : « Cabinet du ministre de l’intérieur. Confidentielle. »

Anatole lut ce qui suit, le tout écrit de la main du ministre :