Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 3, 1851.djvu/295

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

a puisé ce renseignement, ce qui faciliterait peut-être les recherches.

— Ah ! monsieur, — dit madame Duval avec l’accent de la plus profonde reconnaissance, — quoi qu’il arrive, et bien que je conserve peu d’espoir, je n’oublierai de ma vie combien vous vous êtes montré bon et prévenant pour moi dans cette circonstance…

— Mon Dieu, madame, — reprit Anatole d’un ton modeste et pénétré, — qui n’eût pas agi comme moi ! Mon seul regret est de ne pouvoir faire davantage, et de me trouver dans une position tellement dépendante, qu’il m’est impossible de disposer de moi ; sans cela…