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serait mon interprète auprès de la mère de mademoiselle Duval. Le mariage dont nous avons parlé comblerait mes vœux. C’est à vous que je dois la pensée de cette union, madame… Achevez votre ouvrage, et je vous en aurai une éternelle reconnaissance…

— La mauvaise santé de madame Duval avait empêché mon mari de lui parler jusqu’ici de nos projets ; mais, grâce à Dieu, elle va beaucoup mieux, et je vous promets, monsieur de Saint-Géran, que M. Bonaquet s’occupera très prochainement de ce que vous désirez, il fera tout au monde pour réussir.

— Ah ! madame, s’il réussit, je vous devrai le bonheur de ma vie.