Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 3, 1851.djvu/131

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

de Robersac et M. de Saint-Merry, s’étaient consultés à la hâte pendant le temps que M. et madame Bonaquet avaient mis à traverser la longue galerie ; aussi, lorsque tous deux, marchant parallèlement, ne furent plus qu’à peu de distance de la large baie cintrée qui terminait la galerie, M. de Morsenne, se détachant de la foule, s’avança seul jusqu’au seuil du salon, et s’y arrêta comme pour en interdire l’entrée à M. et à madame Bonaquet.