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ma carrière s’aplanit, s’agrandit, je pus me libérer matériellement envers Joseph Fauveau, mais moralement je ne pourrai jamais m’acquitter envers lui, car je lui dois tout ce que je suis.
— Et moi, mon ami, ne lui dois-je pas tout aussi à cette ami dévoué ? S’il ne vous avait pas aidé à devenir un homme célèbre, vous aurais-je jamais rencontré ? Qu’ils soient donc ici lui et sa femme accueillis avec bonheur ; ce que vous m’avez dit d’elle me charme : c’est quelque chose de si rare, de si charmant, que le naturel !
— Seulement, — reprit Jérôme en souriant, — je vous en ai prévenue, ma chère Héloïse, mon ami et sa femme sont, comme