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interrompant son mari, — et madame Duval ! comment va-t-elle aujourd’hui ?
— Un peu mieux ce soir, mais elle m’inquiète toujours. C’est dire, ma chère Héloïse, le double intérêt que nous aurions à ce mariage. Ce serait assurer à la fois l’avenir d’Anatole et celui de cet ange. Aussi je compte demain, si l’état de madame Duval s’améliore, lui faire ma proposition au sujet de notre ami.
— Ne trouveriez-vous pas convenable d’attendre un peu ?
— Pourquoi cela ?
— Je partage sans doute vos espérances à