Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 1, 1851.djvu/243

Cette page a été validée par deux contributeurs.
237
la bonne aventure.

revendique ces relations de parenté, que l’on se prépare à les continuer. C’est menacer madame de Morsenne, et moi, et ma fille, et le duc mon gendre, de l’insolente visite de madame et de M. Bonaquet.

— C’est par trop exorbitant ! — s’écria madame de Morsenne. — Elle ne peut pas être folle à ce point, cette femme !

— Je vous dis, ma chère, — reprit le prince, — que c’est nous prévenir officiellement qu’un jour ou l’autre elle nous amènera ici son médecin.

— Et moi, — s’écria la princesse, — je vous déclare que dès aujourd’hui, dès cette heure, ma porte est à jamais fermée à votre cousine. Je vous demande un peu quel abo-