Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 1, 1851.djvu/129

Cette page a été validée par deux contributeurs.
123
la bonne aventure.

pour cette chère Emma. Elle se loue toujours de leurs excellents procédés, et si ce n’était l’ennui d’habiter en pays étranger, Emma, d’après ses lettres, ne se serait jamais trouvée plus heureuse.

La servante ayant apporté le manteau de madame Duval, Clémence, après mille précautions prises contre la rigueur du froid qui pouvait incommoder sa mère, lui donna le bras, et toutes deux se dirigèrent vers le Jardin-des-Plantes pour y faire leur promenade accoutumée.

 

Un coup de la béquille magique du Diable boiteux nous transportera dans un quartier tout opposé : au faubourg Saint-Germain.