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la bonne aventure.
contempler le portrait de son mari, reprit avec un accent de tristesse résignée :
— Pauvre Julien ! C’est bien sa noble et loyable figure ! Courageux comme un lion !… et pourtant si bon, si tendre pour nous deux, qu’il adorait !
— Bon père, il me gâtait tant ! — dit Clémence en souriant à demi, — Te souviens-tu, quand il venait avec toi, de sa garnison, pour me voir à Paris, et que j’étais en retenue à la pension, quelle tristesse pour lui ! être obligé de s’en retourner sans moi, au lieu de me ramener.
— À qui le dis-tu ! Lorsque je le voyais revenir seul, j’étais bien sûre de ce qui allait