SUPRÊME INVENTION DE JUPITER
��I. Enfin, le temps de l'accompliMeoeni était vean.
Le méprit éternel et l'éternel ennai avaient fini de tendre Mr le coeur de Jnpiter un voile de névét,
Pareil an linceul que l'araignée det glaces tiuc Mir le* aoiu d'Himalaja, et où elle étouffe tonte vie.
II. Titan libre, mais ne sachant pins qne faire de sa liberté,
Se taisait : Il se taisait sur sa cime, d'une bomeur pins Ipre et plus hautaine que sa voit de jadis.
Ce continu tonnerre, qui criait : c Délivre noi, à Zcftt. Oa foudroie moi encore. Car je ne cède pas! >
ni. Jupiter, en vain, avait voulu, rojral, gagner le Titan. Mais ni le sarcasme, ni la louange ne l'avaient plus troublé.
Ni même l'outrage des honnie», dont l'OIjapiea vonini lui faire honte. Car Prométhée répondit :
< O Dieu, Titan ce n'est pas pour eux qne je le sais : c'est poar moi, je te le dis. ■
IV. Ce soir, un grand soir, dans le ciel ceint de nuages, Jupiter bêla Prométhée sur le Caucase, d'une voix si stridente et d'an tel accent de grandeur sévère, que le Titan s'émut et voulut voir.
Il vint ; et sur les raines de l'Olyape il trouva le Diea, qai avait crié.
V. Le Tout Puisunt était debout, près d'Atbèaa ceacbéc, bdc comme Celle qui ne l'est plut qu'une fois. .
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