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De I» souffrance !
Voilà, Urëniié, toi racinet profondes et la vigneor de *otre sève exsangue;
El moi aussi, doux infini qui ruisselle, qui s'iieini cl s'apaise,
J'ai rougi, moi autsi, le vert gazon du ciel De mon pauvre sang qui p!<-uir, et qui a biîté Les portes du coeur.
Vesper, venez ensevelir les morts de la joarnée. Toutes ces douleurs de rien qui nous épuisent ; Venez les fleurir de votre fleur, Narcisse de l'espace.
Vesper, sourire de la Pensée dans les pleurs,
Veiper, vous qui semble? ne pas mourir, venez sur ceux qui
��meurent,
��Hi que icui iLTui uit mnuur teni et Cent foii \t )ournee ;
Fiancée couronnée d'oranger,
Ve»per,
Ma splendide tristesse!
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