main, — il est sûr que je ne partirois pas.
Cependant le monde me tue absolument ; si vous en étiez instruit, vous en seriez affligé ; je le sais ; — et je désire ne pas vous occasionner une larme inutile. — Il suffit à votre pauvre Yorick de savoir que vous en verserez plus d’une quand il ne sera plus ; — mais j’espère que, quoique ma mort, en quelque-temps qu’elle arrive, ait quelque chose d’affligeant pour vous, vous pourrez aussi trouver quelque chose de consolant dans mon souvenir, quand je reposerai sous le marbre.
Mais pourquoi parler de marbre ? — c’est sous la terre que je dois dire :
Car, qu’on me couvre de terre, ou de pierre,
Cela m’est égal.
Cela m’est égal.
Jusqu’alors, du moins, je serai toujours, dans la plus grande sincérité,