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écoutant leur âme. Le pauvre Haydn chercha des consolations auprès de mademoiselle Boselli, aimable cantatrice attachée au service de son prince. La paix du ménage n’en fut pas augmentée. Enfin il se sépara de sa femme, qu’il traita, sous les rapports d’intérêt, avec une loyauté parfaite.

Vous voyez ici, mon ami, une jeunesse tranquille, point de grands écarts, de la raison partout, un homme qui marche constamment à son but. Adieu.