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jalouse, pour aller un peu rire, sur la place Saint-Marc, devant le théâtre de Polichinelle. C’est, en vérité, ce qui m’a fait le plus de plaisir à Venise, en fait de théâtres non chantants. Je trouve cela tout simple, c’est que Polichinelle et Pantalon sont indigènes en Italie, et que, dans tous les genres, on a beau faire, on n’est grand, si l’on est grand, qu’en étant soi-même.