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Chap. IV. La Pietra del Paragone.
- Air célèbre Ecco pietosa, supprimé à Paris par des gens qui espéraient dérober Rossini à la France. — La Pietra del Paragone finit par un grand air comme l’Italiana in Algeri et la Cenerentola.
Chap. V. La conscription et les envieux.
- M. Berton et le Miroir. — Rossini fait des fautes de syntaxe et manque de pureté dans le style ; ce qui est inexcusable, dit M. Berton.
Chap. VI. L’Imprésario et son théâtre.
- Réponse de Rossini au monsignore pédant. — Comédie de Sografisur les prétentions des chanteurs. — La prima sera (première, représentation).
Chap. VII. Guerre de l’harmonie contre la mélodie.
- Les aliments d’un goût piquant font oublier le parfum de
Chap. VIII. Irruption des cœurs secs. — Idéologie de la musique.
- Négligences de Rossini marquées d’une +. — En compliquant les accompagnements, on diminue la liberté du chant. — Les accompagnements de Rossini pèchent plutôt par la quantité que par la qualité. — L’orchestre de Louvois. — Le piano est regardé comme un signe de faiblesse.
Chap. IX. L’Aureliano in Palmira.
- Duetto superbe, Se tu m’ami, o mia regina. — Demetrio e Polibio, premier opéra composé par Rossini, au printemps de 1809. — Ouverture du théâtre de Como.
Chap. X. Il Turco in Italia.
Chap. XI. Rossini va à Naples.
- Scritlura contractée par Rossini avec M. Barbaga. — Influence de la voix de la prima donna de Naples sur le talent de Rossini.
Chap. XII. L’Elisabetta.
Chap. XIII. Suite de l’Elisabetta.
- Ode italienne sur la mort de Napoléon, à comparer à l’ode anglaise de lord Byron, et à la Méditation de M. de Lamartine sur le même sujet. — Critique du style de Rossini par les vieux amateurs de Naples, contemporains de Cimarosa et de Paisiello.
Chap. XIV. Rossini compose dix opéras à Naples.
Chap. XV. Torvaldo e Darliska.