Page:Stendhal - Vie de Rossini, Lévy, 1854.djvu/381

Cette page n’a pas encore été corrigée
Chap. IV. La Pietra del Paragone
 67
Air célèbre Ecco pietosa, supprimé à Paris par des gens qui espéraient dérober Rossini à la France. — La Pietra del Paragone finit par un grand air comme l’Italiana in Algeri et la Cenerentola.
Chap. V. La conscription et les envieux. 
 76
M. Berton et le Miroir. — Rossini fait des fautes de syntaxe et manque de pureté dans le style ; ce qui est inexcusable, dit M. Berton.
Chap. VI. L’Imprésario et son théâtre. 
 83
Réponse de Rossini au monsignore pédant. — Comédie de Sografisur les prétentions des chanteurs. — La prima sera (première, représentation).
Chap. VII. Guerre de l’harmonie contre la mélodie. 
 91
Les aliments d’un goût piquant font oublier le parfum de
Chap. VIII. Irruption des cœurs secs. — Idéologie de la musique. 
 98
Négligences de Rossini marquées d’une +. — En compliquant les accompagnements, on diminue la liberté du chant. — Les accompagnements de Rossini pèchent plutôt par la quantité que par la qualité. — L’orchestre de Louvois. — Le piano est regardé comme un signe de faiblesse.
Chap. IX. L’Aureliano in Palmira
 105
Duetto superbe, Se tu m’ami, o mia regina. — Demetrio e Polibio, premier opéra composé par Rossini, au printemps de 1809. — Ouverture du théâtre de Como.
Chap. X. Il Turco in Italia
 111
Chap. XI. Rossini va à Naples. 
 117
Scritlura contractée par Rossini avec M. Barbaga. — Influence de la voix de la prima donna de Naples sur le talent de Rossini.
Chap. XII. L’Elisabetta. 
 121
Chap. XIII. Suite de l’Elisabetta
 125
Ode italienne sur la mort de Napoléon, à comparer à l’ode anglaise de lord Byron, et à la Méditation de M. de Lamartine sur le même sujet. — Critique du style de Rossini par les vieux amateurs de Naples, contemporains de Cimarosa et de Paisiello.
Chap. XIV. Rossini compose dix opéras à Naples. 
 131
Chap. XV. Torvaldo e Darliska
 134