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madame Catalani ne chante jamais qu’une douzaine d’airs ; c’est avec cela qu’elle se promène en Europe[1]. — Il faut l’entendre
  1. Ce soir nous avons eu :
    Della tromba il suon guerriero
    Portogallo.
    Frenar vorrei le lacrinte.
    Idem
    Nel cor più non mi sento.
    Paisiello.
    Second concert, à Milan.
    Deh ! frenate le lacrime.
    Puccita.
    Ombre adorata, aspetta.
    Crescentini
    Nel cor più non mi sento.
    Paisiello.
    Troisième concert.
    Della tromba il suon guerriero.
    Portogallo.
    Per queste amare lacrime.
    ***
    Oh ! dolce contesto.
    Mozart.
    Quatrième concert.
    Son Regina.
    Portogallo.
    Dolce tranquillità.