Page:Stendhal - Romans et Nouvelles, I, 1928, éd. Martineau.djvu/142

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
100
ROMANS ET NOUVELLES

et à s'offenser de certaines plaisanteries[1].

De plus, se disait l’abbé, il est féroce comme son père quand on le serre de trop près. Ce manque de civilisation devient bien incommode chez ces jeunes gens de race nouvelle que la politesse de Cour n'a pas encore eu le loisir d’assouplir.

  1. La fin de cet alinéa est barrée d’un léger trait de crayon. N.D.L.E.