De manière qu’il n’y a que deux morceaux en ma vie qui aient produit cet effet-là sur moi. Analyser cela. Je crois que c’est une espèce de plaisanterie ou bien plutôt de traits comiques finement indiqués, et à qui la bonne foi apparente de celui qui parle donne la grâce de la faiblesse, celle d’Aribert nous donne le plaisir d’être supérieurs à l’homme qui parle, en voyant l’injustice de celui dont il parle.
Voir quel effet[1] cela produirait, si au lieu de l’injustice, celui qui parle (Moreau) découvrait le ridicule. Dans le fait il découvre ridicule et injustice.
De cette passion la naïve peinture
Est pour aller au cœur la route la plus sûre.
Le gros Durif[2] qui m’ennuyait tant me conte son histoire ce matin au Palais-Royal et devient charmant pour moi, je le suis sans doute pour lui car je l’écoute avec plaisir.
Il y a donc quelque chose à tirer de chaque homme, car celui-là était à mes