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pensées

tères qui n’étaient point connus du temps de Molière. Les intrigues sont un caractère commun… il y a peu de maris jaloux, mais il y a peu de maris. Les pères tyranniques sont rares, les pères indifférents ne le sont pas. On n’a plus les préjugés bourgeois, mais on ne connaît plus les douceurs de la vie simple et domestique…

… L’esprit de société porté à l’excès a donné trop de force et d’étendue aux égards ; on pourrait les opposer à l’amour de l’ordre et de la justice.

Le héros idéal, c’est l’homme dont il y a plus à espérer qu’à craindre. V. 48.

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50. Pourquoi dans la comédie la sensation devient-elle pénible dès qu’un des personnages mérite la potence ? Parce que toute société suppose ressemblance et que nous répugnons à être en société avec des scélérats.

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51. Je commence à lire Corneille, le 20 floréal XI.

Si l’amour vit d’espoir, il périt avec lui.

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Les caractères les plus intéressants veu-